- BBS_RSGolfoo de Diamant
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Date d'inscription : 19/03/2006
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=> TUTO FABRICATION LAMPE STROBOSCOPIQUE < =
Sam 25 Nov 2006 - 15:06
Voici un petit sujet qu'il serait interessant de mettre en post it!! il est consacré à la fabrication d'une lampe stroboscopique!! Trés utile pour vérifier et caler comme il se doit l'avance à l'allumage
___________________________________________________________
PRESENTATION
Une lampe stroboscopique est utile pour régler l’avance à l’allumage en mesurant cette avance, D, en degrés de
vilebrequin à plusieurs régimes moteur, N ,en tours/minute (t/mn).
Les ordres de grandeur sont : N = 1000 t/mn, D = 7° à 15° ;
N = 5000 t/mn, D = 30° à 45°.
Quand N augmente, il est logique que D augmente aussi car en 1 milliseconde (ms) le vilebrequin tourne d’un
angle plus important.
Dans l’utilisation d’une lampe stroboscopique, le nombre de cylindres n’intervient pas, seulement le type de
moteur, 2 ou 4 temps.
l’objectif est : allumer le mélange air/essence comprimé
dans le cylindre environ 1,5 ms AVANT le point mort haut d’allumage (PMH) de façon à obtenir la pression
maximale sur le piston un peu après le PMH.
LAMPE STROBOSCOPIQUE ELEMENTAIRE
Sur le carter moteur, ou d’embrayage, on trouve le repère fixe, correspondant au PMH du cylindre N° 1. Le piston
du cylindre N° 1 est en position PMH lorsque le repère mobile sur la poulie de vilebrequin, ou le volant moteur,
est aligné avec le repère fixe.
Une lampe stroboscopique élémentaire est une lampe au néon (couleur orange) ou au xénon (couleur blanche)
branchée en série avec la bougie du cylindre N°1. Lorsque l’étincelle se produit, la lampe émet un bref éclat
(quelques centaines de microsecondes). Cet éclat est bien sur toujours synchrone avec l’étincelle.
Par exemple, en pointant la lampe vers le repère fixe à N = 1000 t/mn, on voit le repère mobile à proximité. La
persistance rétinienne donne l’illusion d’un repère mobile figé 10° environ AVANT le repère fixe, à sa gauche si le
moteur tourne dans le sens horaire.
En accélérant, l’avance augmente et l’on observe un décalage du repère mobile de plus en plus important vers la
gauche.
Si l’on disposait d’une échelle graduée de 0° (PMH) à 45° le long de la poulie moteur on pourrait ainsi relever la
courbe d’avance , c’est à dire, par exemple, noter les valeurs de D pour N = 1000, 2000, 3000, 4000, 5000 t/mn.
Dans la pratique, il est plus simple et plus précis d’utiliser une lampe à déphasage.
LAMPE STROBOSCOPIQUE A DEPHASAGE
On retrouve un tube à éclat (xénon en général) mais avec sa propre alimentation à haute tension, indépendante
de la bougie. On trouve en outre un circuit électronique de déphasage et un dispositif d’affichage de N et D.
Une capteur inductif enserre le fil de bougie N°1 afin de détecter le passage du courant d’étincelle. Ce signal
déclenche l’éclat avec un certain retard. L’éclat n’est donc plus synchrone avec l’étincelle, il est déphasé.
La valeur de ce retard est fixée par l’utilisateur au moyen d’une molette, ou de boutons poussoirs. L’action sur la
molette entraîne le glissement du repère mobile.
Pour un régime donné N, on amène le repère mobile en conjonction avec le repère fixe. On lit alors la valeur D,
exprimée en degrés.
On augmente N (en vissant la vis de ralenti), le repère mobile glisse vers la gauche, on le ramène en conjonction
avec le repère fixe, on lit une nouvelle valeur de D, etc.
L’affichage des valeurs N et D est soit analogique, à l’aide d’une aiguille sur un cadran, soit numérique, ce qui
est préférable.
L’ensemble se présente souvent sous la forme d’un « pistolet stroboscopique ».
Une telle lampe fournit un éclat très lumineux, ce qui est un avantage, mais elle présente deux inconvénients : un
majeur, son prix (environ 250€ pour un milieu de gamme), et un mineur, son volume, lorsque le compartiment
moteur est encombré.
J’ai donc décidé de réaliser une lampe bon marché en repensant le problème.
StroboPIC, UNE LAMPE STROBO A DEL ET MICROPROCESSEUR
La première idée est de supprimer le coûteux et encombrant tube à éclat (et par conséquent son électronique
d’alimentation en haute tension) en le remplaçant par des DEL blanches (Diode Electro-Luminescente) à haute
luminosité.
La seconde idée est d’utiliser un microprocesseur PIC 16F628 pour diminuer considérablement le nombre de
composants électroniques, le logiciel se substituant au matériel .
L’ensemble tient dans un boîtier de 9x6x3 cm et la source lumineuse, constituée par 3 DEL, est déportée au bout
d’un fil, plus facile à manier dans un compartiment moteur.
L’éclat obtenu est certes plus faible qu’avec un tube au xénon, mais il est suffisant et surtout le prix de l’ensemble
est quasiment divisé par 10.
Le boîtier comporte 2 lignes d’affichage à cristaux liquides (LCD), rétro-éclairé. La première ligne indique N entre
800 et 6000 t/mn, avec une définition de 100 t/mn. La deuxième ligne indique D entre 7° et 50° (Voir les photos ci
–après).
On dispose de deux boutons poussoirs pour déplacer le repère mobile vers la gauche ou vers la droite, et
éventuellement un interrupteur pour moteurs 2 temps ou 4 temps.
Trois fils sortent du boîtier :
--l’alimentation en 12V (à connecter sur l’auto),
--le capteur inductif composé d’une pince spéciale ou de 10 tours de fil sur le fil de bougie N°1 ,
-- fil de la source lumineuse déportée.
CONSTRUCTION
Voir le schéma de l’ensemble, le typon et le plan d’implantation des composants ci-après.
En utilisant le typon (il est à l’échelle 1), réaliser le circuit imprimé (CI) sur une plaque époxy simple face (ou
l’acheter , voir la liste des composants).
Puis, en utilisant le plan d’implantation des composant :
--Souder les deux straps, S1 et S3, puis S2 qui est un fil isolé implanté, lui, coté cuivre.
--Souder la barrette sécable mâle sur le LCD et la femelle sur le CI après avoir supprimé la broche 9 car une
piste passe à cet endroit.
--Souder tous les composants et régler la résistance ajustable RA1 à 130 ohms entre les broches 1 et 3 du LCD
(elle règle le contraste de l’affichage).
--Régler la résistance ajustable RA2 à 500 ohms(elle règle la sensibilité de l’entrée).
--Dans le couvercle du boîtier, découper une fenêtre pour l’afficheur .
--Dans le corps du boîtier, sur les côtés, percer des trous pour les deux jacks femelles , le passage du fil
d’alimentation, les deux boutons-poussoirs et l’interrupteur 2/4 temps si vous retenez cette option (4 temps
seulement si cet interrupteur n’est pas monté).
Placer les 3 DEL et les résistances de 33 ohms dans un tube en plastique de diamètre 15 mm, longueur 10 cm,
par exemple
Avec un programmateur de PIC relié à un PC, télécharger 628STRBx.hex vers le PIC (x est le N° de version du
programme).
Enficher le PIC et le 555 sur leurs supports en respectant l’orientation : encoche du circuit intégré coté patte
N°1 (repérée sur le circuit imprimé).
Capteur inductif : une pince du commerce (quelques €) est la meilleur solution.
Si vous le réalisez vous même, je recommande de fabriquer un fil de bougie N° 1 spécifique à substituer au fil
d’origine pendant la mesure de l’avance : enrouler serré 10 tours de fil quelconque autour d’un morceau de fil de
bougie et les maintenir en place avec du ruban adhésif. Souder le câble blindé aux deux extrémités de
l’enroulement.
ESSAIS ET UTILISATION
Connecter le + alimentation au + bobine, ou à la batterie. Connecter le – alimentation à une masse quelconque
Connecter la pince à induction en respectant son orientation (repérée par une flèche, en général) par rapport à
la bougie.
Marquer au Tipex (ou craie blanche) les repères fixes et mobiles pour les rendre plus visibles.
Démarrer. Les DEL doivent clignoter et le régime moteur s’afficher.
Si rien n’apparaît sur l’écran :
--avec un capteur bobiné, intervertir ses connexions
--retoucher RA1, le réglage du contraste et/ou RA2 pour la sensibilité.
Si la valeur de N n’est pas stable, retoucher RA2.
D est initialisé à 10°. En utiliser les boutons poussoirs, amener les repères fixe et mobile en coïncidence et lire D
LISTE DES COMPOSANTS
Le circuit imprimé , le boîtier (et bien sur le reste si nécessaire), se trouve chez Perlor Radio, 25 rue Herold
75001, Paris. Tel 01 42 36 65 50.
IC1 Régulateur 7805
IC2 PIC 16F628
IC3 LCD, entrées parallèles, 2 lignes de 16 caractères, rétro-eclairé
IC4 N555
L1 Capteur :Pince inductive ou 10 tours de fil
Q1-2 2N 2222 ou BC 547 ou équivalent
D1 Diode 1N4001 ou autre
D2-4 DEL blanches à haute luminosité, diamètre 6 mm
R1-4 10k Ohms
R5 270k Ohms
R6 4k7 Ohms
R7 150 Ohms, ½ watt elle chauffe un peu
R8-10 33 Ohms
RA1 Résistance ajustable 2k Ohms horizontal
RA2 Résistance ajustable 1k Ohms vertical
C1 100μ
F à fils de sortie axiaux
C2 0.1 μ
F
C3 33nF
BP1-2 Boutons poussoirs
K1 Interrupteur (optionnel)
J1-2 Jacks
1 support 18 pattes et un support 8 pattes, tulipe.
2 Barrettes sécables, mâle et femelle, 14 broches
Fil blindé pour le capteur inductif
Boîtier plastique 9x6x3 cm ou plus grand
LOGICIELS
Fichier hexa à télécharger dans le PIC : 628STRBx.hex
Pour information les logiciels source : 628STRBx.asm , GENSTRBx.bas
Voir http://a110.free.fr
Tout ceci est gratuit, libre de tout droit.
PLAN ET PHOTOS
Toutes ces infos sont tirées du site http://a110.free.fr/pages/technique/phl/g13-strobo%20PIC.pdf et ne nécessitent d'aucun droits d'auteur!!!
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PRESENTATION
Une lampe stroboscopique est utile pour régler l’avance à l’allumage en mesurant cette avance, D, en degrés de
vilebrequin à plusieurs régimes moteur, N ,en tours/minute (t/mn).
Les ordres de grandeur sont : N = 1000 t/mn, D = 7° à 15° ;
N = 5000 t/mn, D = 30° à 45°.
Quand N augmente, il est logique que D augmente aussi car en 1 milliseconde (ms) le vilebrequin tourne d’un
angle plus important.
Dans l’utilisation d’une lampe stroboscopique, le nombre de cylindres n’intervient pas, seulement le type de
moteur, 2 ou 4 temps.
l’objectif est : allumer le mélange air/essence comprimé
dans le cylindre environ 1,5 ms AVANT le point mort haut d’allumage (PMH) de façon à obtenir la pression
maximale sur le piston un peu après le PMH.
LAMPE STROBOSCOPIQUE ELEMENTAIRE
Sur le carter moteur, ou d’embrayage, on trouve le repère fixe, correspondant au PMH du cylindre N° 1. Le piston
du cylindre N° 1 est en position PMH lorsque le repère mobile sur la poulie de vilebrequin, ou le volant moteur,
est aligné avec le repère fixe.
Une lampe stroboscopique élémentaire est une lampe au néon (couleur orange) ou au xénon (couleur blanche)
branchée en série avec la bougie du cylindre N°1. Lorsque l’étincelle se produit, la lampe émet un bref éclat
(quelques centaines de microsecondes). Cet éclat est bien sur toujours synchrone avec l’étincelle.
Par exemple, en pointant la lampe vers le repère fixe à N = 1000 t/mn, on voit le repère mobile à proximité. La
persistance rétinienne donne l’illusion d’un repère mobile figé 10° environ AVANT le repère fixe, à sa gauche si le
moteur tourne dans le sens horaire.
En accélérant, l’avance augmente et l’on observe un décalage du repère mobile de plus en plus important vers la
gauche.
Si l’on disposait d’une échelle graduée de 0° (PMH) à 45° le long de la poulie moteur on pourrait ainsi relever la
courbe d’avance , c’est à dire, par exemple, noter les valeurs de D pour N = 1000, 2000, 3000, 4000, 5000 t/mn.
Dans la pratique, il est plus simple et plus précis d’utiliser une lampe à déphasage.
LAMPE STROBOSCOPIQUE A DEPHASAGE
On retrouve un tube à éclat (xénon en général) mais avec sa propre alimentation à haute tension, indépendante
de la bougie. On trouve en outre un circuit électronique de déphasage et un dispositif d’affichage de N et D.
Une capteur inductif enserre le fil de bougie N°1 afin de détecter le passage du courant d’étincelle. Ce signal
déclenche l’éclat avec un certain retard. L’éclat n’est donc plus synchrone avec l’étincelle, il est déphasé.
La valeur de ce retard est fixée par l’utilisateur au moyen d’une molette, ou de boutons poussoirs. L’action sur la
molette entraîne le glissement du repère mobile.
Pour un régime donné N, on amène le repère mobile en conjonction avec le repère fixe. On lit alors la valeur D,
exprimée en degrés.
On augmente N (en vissant la vis de ralenti), le repère mobile glisse vers la gauche, on le ramène en conjonction
avec le repère fixe, on lit une nouvelle valeur de D, etc.
L’affichage des valeurs N et D est soit analogique, à l’aide d’une aiguille sur un cadran, soit numérique, ce qui
est préférable.
L’ensemble se présente souvent sous la forme d’un « pistolet stroboscopique ».
Une telle lampe fournit un éclat très lumineux, ce qui est un avantage, mais elle présente deux inconvénients : un
majeur, son prix (environ 250€ pour un milieu de gamme), et un mineur, son volume, lorsque le compartiment
moteur est encombré.
J’ai donc décidé de réaliser une lampe bon marché en repensant le problème.
StroboPIC, UNE LAMPE STROBO A DEL ET MICROPROCESSEUR
La première idée est de supprimer le coûteux et encombrant tube à éclat (et par conséquent son électronique
d’alimentation en haute tension) en le remplaçant par des DEL blanches (Diode Electro-Luminescente) à haute
luminosité.
La seconde idée est d’utiliser un microprocesseur PIC 16F628 pour diminuer considérablement le nombre de
composants électroniques, le logiciel se substituant au matériel .
L’ensemble tient dans un boîtier de 9x6x3 cm et la source lumineuse, constituée par 3 DEL, est déportée au bout
d’un fil, plus facile à manier dans un compartiment moteur.
L’éclat obtenu est certes plus faible qu’avec un tube au xénon, mais il est suffisant et surtout le prix de l’ensemble
est quasiment divisé par 10.
Le boîtier comporte 2 lignes d’affichage à cristaux liquides (LCD), rétro-éclairé. La première ligne indique N entre
800 et 6000 t/mn, avec une définition de 100 t/mn. La deuxième ligne indique D entre 7° et 50° (Voir les photos ci
–après).
On dispose de deux boutons poussoirs pour déplacer le repère mobile vers la gauche ou vers la droite, et
éventuellement un interrupteur pour moteurs 2 temps ou 4 temps.
Trois fils sortent du boîtier :
--l’alimentation en 12V (à connecter sur l’auto),
--le capteur inductif composé d’une pince spéciale ou de 10 tours de fil sur le fil de bougie N°1 ,
-- fil de la source lumineuse déportée.
CONSTRUCTION
Voir le schéma de l’ensemble, le typon et le plan d’implantation des composants ci-après.
En utilisant le typon (il est à l’échelle 1), réaliser le circuit imprimé (CI) sur une plaque époxy simple face (ou
l’acheter , voir la liste des composants).
Puis, en utilisant le plan d’implantation des composant :
--Souder les deux straps, S1 et S3, puis S2 qui est un fil isolé implanté, lui, coté cuivre.
--Souder la barrette sécable mâle sur le LCD et la femelle sur le CI après avoir supprimé la broche 9 car une
piste passe à cet endroit.
--Souder tous les composants et régler la résistance ajustable RA1 à 130 ohms entre les broches 1 et 3 du LCD
(elle règle le contraste de l’affichage).
--Régler la résistance ajustable RA2 à 500 ohms(elle règle la sensibilité de l’entrée).
--Dans le couvercle du boîtier, découper une fenêtre pour l’afficheur .
--Dans le corps du boîtier, sur les côtés, percer des trous pour les deux jacks femelles , le passage du fil
d’alimentation, les deux boutons-poussoirs et l’interrupteur 2/4 temps si vous retenez cette option (4 temps
seulement si cet interrupteur n’est pas monté).
Placer les 3 DEL et les résistances de 33 ohms dans un tube en plastique de diamètre 15 mm, longueur 10 cm,
par exemple
Avec un programmateur de PIC relié à un PC, télécharger 628STRBx.hex vers le PIC (x est le N° de version du
programme).
Enficher le PIC et le 555 sur leurs supports en respectant l’orientation : encoche du circuit intégré coté patte
N°1 (repérée sur le circuit imprimé).
Capteur inductif : une pince du commerce (quelques €) est la meilleur solution.
Si vous le réalisez vous même, je recommande de fabriquer un fil de bougie N° 1 spécifique à substituer au fil
d’origine pendant la mesure de l’avance : enrouler serré 10 tours de fil quelconque autour d’un morceau de fil de
bougie et les maintenir en place avec du ruban adhésif. Souder le câble blindé aux deux extrémités de
l’enroulement.
ESSAIS ET UTILISATION
Connecter le + alimentation au + bobine, ou à la batterie. Connecter le – alimentation à une masse quelconque
Connecter la pince à induction en respectant son orientation (repérée par une flèche, en général) par rapport à
la bougie.
Marquer au Tipex (ou craie blanche) les repères fixes et mobiles pour les rendre plus visibles.
Démarrer. Les DEL doivent clignoter et le régime moteur s’afficher.
Si rien n’apparaît sur l’écran :
--avec un capteur bobiné, intervertir ses connexions
--retoucher RA1, le réglage du contraste et/ou RA2 pour la sensibilité.
Si la valeur de N n’est pas stable, retoucher RA2.
D est initialisé à 10°. En utiliser les boutons poussoirs, amener les repères fixe et mobile en coïncidence et lire D
LISTE DES COMPOSANTS
Le circuit imprimé , le boîtier (et bien sur le reste si nécessaire), se trouve chez Perlor Radio, 25 rue Herold
75001, Paris. Tel 01 42 36 65 50.
IC1 Régulateur 7805
IC2 PIC 16F628
IC3 LCD, entrées parallèles, 2 lignes de 16 caractères, rétro-eclairé
IC4 N555
L1 Capteur :Pince inductive ou 10 tours de fil
Q1-2 2N 2222 ou BC 547 ou équivalent
D1 Diode 1N4001 ou autre
D2-4 DEL blanches à haute luminosité, diamètre 6 mm
R1-4 10k Ohms
R5 270k Ohms
R6 4k7 Ohms
R7 150 Ohms, ½ watt elle chauffe un peu
R8-10 33 Ohms
RA1 Résistance ajustable 2k Ohms horizontal
RA2 Résistance ajustable 1k Ohms vertical
C1 100μ
F à fils de sortie axiaux
C2 0.1 μ
F
C3 33nF
BP1-2 Boutons poussoirs
K1 Interrupteur (optionnel)
J1-2 Jacks
1 support 18 pattes et un support 8 pattes, tulipe.
2 Barrettes sécables, mâle et femelle, 14 broches
Fil blindé pour le capteur inductif
Boîtier plastique 9x6x3 cm ou plus grand
LOGICIELS
Fichier hexa à télécharger dans le PIC : 628STRBx.hex
Pour information les logiciels source : 628STRBx.asm , GENSTRBx.bas
Voir http://a110.free.fr
Tout ceci est gratuit, libre de tout droit.
PLAN ET PHOTOS
Toutes ces infos sont tirées du site http://a110.free.fr/pages/technique/phl/g13-strobo%20PIC.pdf et ne nécessitent d'aucun droits d'auteur!!!
- tune-rGolfoo d'argent confirmé
- Messages : 518
Date d'inscription : 06/05/2004
Localisation : saone et loire
Re: => TUTO FABRICATION LAMPE STROBOSCOPIQUE < =
Sam 25 Nov 2006 - 17:58
et tu aurai une idée du prix de revient ?
- hot importGolfoo sur-actif
- Messages : 2315
Date d'inscription : 26/06/2006
Localisation : entre terre et eau, dans le marais poitevin...
Re: => TUTO FABRICATION LAMPE STROBOSCOPIQUE < =
Sam 25 Nov 2006 - 20:18
très interressant...moi, j'ai trouver une malette sur une brocante avec la lampe et le cablage,plus les manos pour réglage carbu et ampermetre pour 15 euros.
- tune-rGolfoo d'argent confirmé
- Messages : 518
Date d'inscription : 06/05/2004
Localisation : saone et loire
Re: => TUTO FABRICATION LAMPE STROBOSCOPIQUE < =
Sam 25 Nov 2006 - 20:52
hot import a écrit:très interressant...moi, j'ai trouver une malette sur une brocante avec la lampe et le cablage,plus les manos pour réglage carbu et ampermetre pour 15 euros.
bah si tout ce petit materiel est en bon etat de fonctionnement , t'a fait une sacrée affaire
- invitéInvité
Re: => TUTO FABRICATION LAMPE STROBOSCOPIQUE < =
Dim 26 Nov 2006 - 7:06
.
trés bien ce sujet
avant de le passer dans la rubrique "
faites le vous même "
il me faudrait quel est le niveau de compétence requis en électronique pour arriver à faire ce montage svp ?
trés bien ce sujet
avant de le passer dans la rubrique "
faites le vous même "
il me faudrait quel est le niveau de compétence requis en électronique pour arriver à faire ce montage svp ?
- dadouInvité
Re: => TUTO FABRICATION LAMPE STROBOSCOPIQUE < =
Dim 26 Nov 2006 - 12:30
Il faut quand meme un minimum de matos rien que pour le circuit imprimé
, bain d'acide non ? Il y a des astuces amis electro pour les CI ("
En utilisant le typon (il est à l’échelle 1), réaliser le circuit imprimé (CI) sur une plaque époxy simple face (ou
l’acheter , voir la liste des composants)"
)
?
, bain d'acide non ? Il y a des astuces amis electro pour les CI ("
En utilisant le typon (il est à l’échelle 1), réaliser le circuit imprimé (CI) sur une plaque époxy simple face (ou
l’acheter , voir la liste des composants)"
)
?
- BBS_RSGolfoo de Diamant
- Messages : 2396
Date d'inscription : 19/03/2006
Localisation : Toulon (83)
Re: => TUTO FABRICATION LAMPE STROBOSCOPIQUE < =
Dim 26 Nov 2006 - 12:32
country a écrit:.
trés bien ce sujet
avant de le passer dans la rubrique "
faites le vous même "
il me faudrait quel est le niveau de compétence requis en électronique pour arriver à faire ce montage svp ?
Honnêtement il faut être bidouilleur c'est tout car pour le circuit imprimé, on peut le faire chez un electronicien, aprés c'est juste perçage de trou, mettre les composants au bon endroit (cf : le schéma) et souder!!
On va dire un bon niveau débutant!!
@ tune-r : Je ne connais pas le prix de revient car je ne l'ai jamais fait moi même!! mais ça ne saurait tarder car je dois caler mon allumage donc...
- dadouInvité
Re: => TUTO FABRICATION LAMPE STROBOSCOPIQUE < =
Dim 26 Nov 2006 - 12:35
:merci: donc si on a le matos un electro peu imprimé le CI alors ?
- BBS_RSGolfoo de Diamant
- Messages : 2396
Date d'inscription : 19/03/2006
Localisation : Toulon (83)
Re: => TUTO FABRICATION LAMPE STROBOSCOPIQUE < =
Dim 26 Nov 2006 - 12:53
dadou a écrit::merci: donc si on a le matos un electro peu imprimé le CI alors ?
Tout à fait est pour ce qui est du matos il faut (attention la liste est longue) :
- fer à souder
- étain
!!!
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